Familles monoparentales pauvreté : Difficultés des mères célibataires


   
   

Familles monoparentales pauvreté : Difficultés des mères célibataires



Familles monoparentales pauvreté en France : Les mères seules (familles monoporentales) de plus en plus pauvres par rapport aux autres ménages. Au Secours catholique, la proportion de parents isolés accueillis est passée de 22,8 % en 1989 à 29,4% en 2008 : près d’une famille accueillie sur trois est en fait une mère seule comme le rapporte Le Parisien.

familles monoparentales et rsa

Voici le témoignage de Nadia qui vit avec 680 euros de RSA (revenu solidarité active) et son petit garçon Sofian de 22 mois :
“J’ai beau faire attention, je suis toujours dans le rouge” Elle a 101 euros de loyer (le reste est pris en charge par la CAF) et une fois les charges payées (électricité, téléphone…) il lui reste 9à euros par semaine pour vivre. “Je passe mon lundi à faire les courses dans les supermarchés en profitant de la concurrence pour trouver le meilleur rapport qualité prix. Le mardi, je n’ai plus de sous, à part quelques pièces dans un bocal. Mais je me débrouille pour faire la cuisine, préparer des petits plats avec
les restes” (…) Quand j’achète, c’est pour mon fils. Moi, je ne m’achète rien. Mon seul luxe, c’est le tabac à rouler : 4,65 euros le paquet, sachant qu’il m’en faut deux par semaine”

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4 commentaires pour “Familles monoparentales pauvreté : Difficultés des mères célibataires”

  1. nathalie dit :

    bonjour,comment peut on douter de la pauvreté des familles monoparental qu’ils sont pauvres c’est un faible mot,survivre a cette société qui ne veus pas des gens faibles,pour leurs enfants ah je m’attend aus reflexion bien attentionné comme certains qui peuvent epiloguer sur la prime de noel,certaines reflexion rentre bien dans la politique de sarko,que le gouvernement nous fasse des dettes,manges et boives sur notre dos c’est rien tous c’est argent gaspillé c’est rien les gens preferes regarder epiloguer douter de la pauvreté savoir pourquoi lui a le droit a ça et pas moi,vivre avec le minimum vendre tout le surperflux pour payer ces factures fair les encombrants pour revendre sur foire aux grenier ci ça ce n’est pas de la pauvreté quelle definition lui donner cordilement nathalie

  2. Agnes dit :

    On s’interroge: OU SONT LES PERES si présents avec leurs enfants, selon le discours d’SOS papa ???
    Vous savez ces pères que la justice (et les mères) EMPECHE de voir leurs enfants. Ceux qui bassinent les medias en disant qu’ils sont “spoliées”, parce que 85 % des enfants sont en résidence principale auprès des mères. Ceux qui se disent RUINES par les pensions alimentaires qu’ils donnent pour l’entretien des enfants, ils sont OU dans ce constat de pauvreté grimpante qui atteint les mères et leurs enfants ?? Leur défection et les fausses allégations des associations de pères leur confèrent le statut de “victimes”, ils l’entretiennent à grands coups de discours dans les medias. La réalité est bien moins vertueuse…visiblement.

  3. sophie dit :

    je te reprends.. c’est “SS papas” qu’il convient d’évoquer..
    Leur unique but est d’éradiquer toute relation entre maman et enfant, de se substituer aux mères en inventant pour ce faire des théories affolantes et mensongères.. Pour eux, une mère protectrice EST une mère abusive, point barre.
    Et eux qui revendiquent tant leurs droits oublient bien souvent au passage leurs devoirs..
    Je fais partie des mamans harcelées par leur ex mari qui continue, sept ans après le divorce, d’exiger la garde exclusive, lui évitant ainsi de pâyer toute pension alimentaire.
    Et vous savez quoi ?
    Je comprends les mères qui préfèrent faire une croix sur ces pensions plutôt que de v ivre sous la pression omniprésente de leur ex.
    J’ajoute qu’il serait temps aussi de faire reconnaître conditionnements et manipulations mentales dontt sont victimes nos enfants, et réajuster la vérité : ces manipulations sont en majeure partie commises par les PERES qui se sentent toujours frustrés et lésés quand ils n’ont plus le “contrôle” de leur (ex) foyer.

  4. kmervert dit :

    l’explosion des familles monoparentales est là pour le prouver, que nous faut-il de plus pour comprendre : cessons de confondre l’amour avec le cul, les services sociaux ne sont pas là pour réparer toutes nos conneries.

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